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LES BIENFAITS NUTRITIONNELS DES CONSERVES DE POISSON : 

UNE ALIMENTATION VARIEE ET EQUILIBREE POUR UNE VIE SAINE 

La nutrition joue un rôle essentiel dans le développement des produits Pointe de Penmarc’h. Dans un monde où l’on devient de plus en plus conscients de l'impact de notre alimentation sur la santé, il est crucial pour nous de prendre en compte les besoins nutritionnels dans le choix des ingrédients mis en œuvre, et la conception globale de nos produits. 

Une bonne nutrition est fondamentale pour le bien-être général et la prévention de nombreuses maladies. En intégrant des ingrédients riches en nutriments et en supprimant les composants chimiquement transformés et nocifs, nous souhaitons guider nos clients et contribuer à une meilleure santé publique. 

Nos produits sont adaptés aux différents groupes de population, comme les personnes âgées, les sportifs, les gens qui mangent sur le pouce au travail, les femmes enceintes, les enfants, ou ceux ayant des besoins spécifiques (allergies, intolérances, etc.). Nous souhaitons que nos clients n’aient pas besoin d’avoir recours aux substituts de repas ou aux en-cas enrichis, c’est pour cette raison qu’ils sont riches en protéines notamment. 

Enfin, la transparence et l'éducation des consommateurs sur les valeurs nutritionnelles des produits sont devenues incontournables. Pointe de Penmarc’h s'engage à fournir des informations claires et précises sur la composition de ses produits, pour renforcer la confiance de ses consommateurs, et favoriser des choix alimentaires éclairés. 

L'intégration de la nutrition dans le développement de nos produits est bénéfique pour la santé de nos clients, et à cet égard, cela représente un engagement fort de notre équipe, soucieuse du bien-être de nos consommateurs. 

NOS CONSERVES DE POISSONS DEVOILENT LEURS VERTUS NUTRITIONNELLES 

Calcium :

Le calcium est le minéral le plus abondant du corps humain, soit 1 à 1,2 kg environ chez l'adulte. 99% de ce calcium contribue à la formation et à la solidité des os et des dents.

L'impact d'un régime n'apportant pas suffisamment de calcium (alimentation carencée), n'est apparent que lorsque surviennent des modifications au niveau de l'os (mauvaise constitution osseuse chez le jeune, décalcification chez l'adulte et la personne âgée).

A tout âge, il est donc indispensable d'assurer une couverture permanente et suffisante des besoins en calcium. Ceci est particulièrement vrai durant l'enfance et l'adolescence, lorsque se met en place le capital osseux maximal, ainsi qu’au moment où survient le vieillissement physiologique de l'os.

Nos recettes de sardines à l’ancienne (à l’huile d’olive, à l’huile d’arachide, au piment, au pesto, aux échalotes, aux algues marinées, aux tomates séchées…) sont toutes des produits riches en calcium. Le saviez-vous ? C’est l’arête de la sardine qui renferme tout l’apport en calcium ! Très fine dans nos sardines à l’ancienne, n’hésitez pas à la manger. 

LES PROTEINES CONTRIBUENT AU MAINTIEN DE VOTRE MASSE MUSCULAIRE 

Principaux constituants des cellules du corps humain, les protéines sont des macronutriments indispensables à la vie. Elles permettent de maintenir le corps en pleine forme. Les protéines sont dites « essentielles », c’est-à-dire qu’elles ne peuvent pas être synthétisées par l’organisme et doivent alors obligatoirement être apportées par l’alimentation. 

Les protéines se présentent sous forme de chaînes d’acides aminés ; composants des muscles, de la peau, des ongles, etc. Leur rôle principal est de participer au renouvellement des tissus musculaires, de la peau et du tissu osseux. Les protéines aident au renforcement du système immunitaire et contribuent à la défense contre les maladies. Les protéines participent également au maintien de la masse musculaire et d’une ossature normale. Il est donc recommandé d’en consommer régulièrement et en quantité suffisante pour apporter à notre corps ce dont il a besoin pour bien fonctionner. 

Les protéines peuvent être issues de produits d’origine animale (viande, œuf, et poisson) ou dans des aliments d’origine végétale comme les céréales ou les légumineuses, par exemple. 

Toutes les conserves de poissons Pointe de Penmarc’h sont riches en protéines. 

LA VITAMINE D CONTRIBUE AU FONCTIONNEMENT NORMAL DU SYSTEME IMMUNITAIRE : 

La vitamine D a une double origine, elle peut être soit acquise par l’alimentation soit produite par l’organisme grâce aux rayons du soleil qui pénètrent dans la peau. Elle est créée à partir de la lumière (rayons UVB) au niveau de la peau. En périodes de faible ensoleillement ou de confinement, des déficits en vitamine D sont fréquemment observés. 

La vitamine D est essentielle pour la santé des os et le soin des dents. Elle contribue à l’absorption et à l’utilisation normales du calcium et du phosphore dans le corps et joue donc un rôle important dans la formation osseuse. La vitamine D participe également au fonctionnement normal du système immunitaire ainsi qu’à une bonne santé musculaire. Comme de nombreuses vitamines, la « vitamine du soleil » aide à lutter contre la fatigue.  

Les poissons gras tels que le hareng, le maquereau, la sardine, l’anchois, la truite ou le saumon font partie des aliments les plus riches en vitamine D. 

Opter pour des aliments bien pourvus en vitamine D est un geste de prévention supplémentaire pour lutter contre les infections virales. 

2 formes de vitamine D 

Vitamine D2, fabriquée par les végétaux 

Vitamine D3, fabriquée par les animaux à partir de la vitamine D2. La vitamine D3 permet d'augmenter plus efficacement notre taux sanguin de vitamine D. 

Où la trouver ?

Vitamine D3 : Poissons gras (morue, harengs, sardines, truite, saumon), Oeufs, Produits laitiers. La teneur en vitamine D peut varier de 1 à 10 selon comment l'animal a été nourri et élévé. 

Vitamine D2 : Algues, Cacao et en petites quantités dans les champignons et l'avocat. 

Son rôle dans la protection virale 

Dans les populations ayant des taux sanguins de vitamine D bas, on a observé plus de mortalité liée au COVID-19*. L'hypothèse des chercheurs ? La vitamine D permettrait d'activer des protéines de défense et de renforcer les membranes de nos cellules pour limiter les intrusions. Elle participe aussi à la résolution de l'inflammation. *D'APRÈS COMMUNIQUÉ DE L'ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE (MAI 2020) 

AUTEURS : JULIE LAURENSOT, ASSOCIATION BLEU-BLANC-COEUR / ALEXANDRA ESSEN, MICRO-NUTRITIONNISTE ET SOPHROLOGUE (92) 

LES OMÉGA 3 CONTRIBUENT A UNE FONCTION CARDIAQUE NORMALE :

Les oméga 3 sont des acides gras et appartiennent à la famille des lipides.  

Les lipides sont des graisses alimentaires qui apportent l’énergie nécessaire à notre corps. Leur rôle principal est le stockage énergétique. Ils sont essentiels à notre santé. Ces macronutriments participent à la structure et à la bonne fonction des membranes cellulaires. Ils interviennent également dans d’autres fonctions biologiques telles que le transport ou l’assimilation des vitamines A, D, E et K. 

ALA, EPA, DHA : CE SONT TOUS DES NOMS D’OMÉGA 3 ! 

Différentes tailles : 

Chaîne courte (ALA*), fabriqué par des végétaux bien assimilés par certains animaux et par les humains. 

Chaînes longues, obtenus suite à un allongement des ALA. *acide alpha-linolénique 

Le plus connu est le DHA, important pour notre cerveau. 

Les oméga 3 sont des nutriments faisant partie de la classe des lipides. Ce sont des acides gras dits essentiels car notre organisme n’est pas capable d’en fabriquer. Le corps en ayant besoin pour bien fonctionner, il est nécessaire de se les procurer par notre alimentation, au quotidien. Ils sont des constituants importants de la membrane de nos cellules et jouent un rôle dans la régulation de l'inflammation (réaction enclenchée par notre système immunitaire pour éliminer les menaces). 

Anti-inflammatoires naturels 

Les oméga 3 encouragent notre système immunitaire à diminuer les inflammations du corps. Ils sont en compétition avec les omégas 6 (promoteurs de l'inflammation). Il est recommandé de consommer en proportion 1 oméga-3 pour 4 oméga-6. 

Le hic ? Nous consommons en moyenne plutôt 1 oméga-3 pour 10 à 20 oméga-6 et on observe dans le même temps une progression des maladies dites à inflammation de bas grade (obésité, diabète de type 2, maladies cardio-vasculaires...). 

LES EFFETS POSITIFS DES OMÉGA 3 SUR NOTRE SANTÉ SONT NOMBREUX.  

Dans le domaine cardio-vasculaire, la consommation d'acides gras oméga 3 FAVORISE UN BON FONCTIONNEMENT DU CŒUR. Ils jouent également un rôle sur les fonctions cognitives. Les oméga 3 peuvent alors AGIR SUR LA MÉMOIRE OU ENCORE LA VISION. Ils sont également nécessaires au BON DÉVELOPPEMENT SYSTÈME NERVEUX ET ONT UN EFFET POSITIF SUR LE MAINTIEN DE LA SANTÉ MENTALE. C’est ainsi qu’ils contribuent au fonctionnement normal du cerveau. Ils participent à LA RÉGULATION DE L’INFLAMMATION, ET À LA STIMULATION DE NOS DÉFENSES IMMUNITAIRES. 

Les meilleures sources de lipides sont le beurre, les huiles, les noix… et les produits de la mer, notamment, les poissons gras. Ces poissons ont une teneur plus élevée en oméga 3 dit « à longue chaîne » (teneur qui dépasse le seuil de 1g pour 100g de poisson). Les poissons gras regroupent la sardine, le maquereau, le hareng et le saumon principalement. 

Une portion de 100g de sardines à l’huile d’olive ou de filets de maquereaux Pointe de Penmarc'h est riche en oméga 3 et couvre environ 6 fois vos besoins journaliers !  

BON À SAVOIR : TOUTES NOS CONSERVES DE SARDINES (À L’ANCIENNE, EN FILETS OU À POÊLER), NOS FILETS DE MAQUEREAUX, THON BLANC NATUREL OU À HUILE D’OLIVE, SAUMON, ANCHOIS, HARENGS ET MORUE SONT RICHES EN OMÉGA 3. 

De multiples bénéfices santé 

Les impacts santé liés à une alimentation riche en Omégas 3 ont été observés dans les études cliniques portant notamment sur l'obésité et le diabète. Le rôle protecteur des oméga 3 face au COVID 19 a aussi été étudié à l'échelle mondiale. L'hypothèse des chercheurs ? La proportion d'oméga 3 dans la membrane de nos cellules fait diminuer le nombre de zones propices à l'installation du virus. Les oméga 3 participent aussi à la résolution de l'inflammation générée en cas d'infection. 

Source : ANSES, CIQUAL.ANSES.FR 

BLEU-BLANC-COEUR.ORG/A-PROPOS/NOTRE-DEMARCHE-SCIENTIFIQUE 

ASHER, A., TINTLE, N., MYERS, M., LOCKSHON, L., BACAREZA, H. AND HARRIS, 

W., 2021. BLOOD OMEGA-3 FATTY ACIDS AND DEATH FROM COVID-19 : A PILOT STUDY. 

WEILL, P., PLISSONNEAU, C., LEGRAND, P., RIOUX, V. AND THIBAULT, R., 2020. 

MAY OMEGA-3 FATTY ACID DIETARY SUPPLEMENTATION HELP REDUCE 

SEVERE COMPLICATIONS IN COVID-19 PATIENTS 

LES OMEGA 3 CONTRIBUENT AU FONCTIONNEMENT NORMAL DU CERVEAU 

5 principaux neurotransmetteurs permettent le passage des informations nerveuses dans différentes zones du cerveau afin de réguler de grandes fonctions cognitives (mémoire, humeur, motivation...). Découvrez quels nutriments sont essentiels à leurs fabrications ! 

Quels sont les intérêts des Oméga 3 pour le cerveau ? 

Essentiels à la synthèse de neurotransmetteurs : 

Dopamine : Motivation, plaisir, attention, mémoire, apprentissage 

Sérotonine : Régulation de l’humeur, impulsivité, sommeil  

Acétylcholine : Mémoire et apprentissage  

Contribuent à la croissance des neurones lors de la formation du cerveau et à l’âge adulte au niveau de l’hippocampe : effet contre le déclin cognitif 

Auteurs : Célia Mores (Docteur en Neurosciences) et Julie Laurensot (Bleu-Blanc-Cœur) 

Effets de la consommation d’oméga 3 sur le déclin cognitif 

Article proposé par Célia Mores, chercheure en neurosciences, enseignante à l’école EDNH de Paris et ambassadrice Bleu-Blanc-Cœur. 

Un certain nombre d’études ont montré que plus l’apport en oméga 3 diminue, et plus le risque de développer une maladie neurodégénérative augmente. Ces études ont mis en évidence une relation inverse entre la consommation de poissons gras (contenant des oméga 3) ou la consommation d’oméga 3 et le risque d’apparition de démence, en particulier de type Alzheimer. 

Dans son étude de 2003, Morris examine l’impact de la consommation de poisson et d’oméga 3 sur le développement de la maladie d’Alzheimer. Pour ce faire, il a suivi 815 individus âgés de 65 à 94 ans non affectés par la maladie. En comparant la consommation de poisson de ces individus, Morris, met en évidence que ceux qui ont consommé du poisson au moins une fois par semaine, ont un risque réduit de 60 % de développer la maladie d’Alzheimer (comparativement à ceux qui en mangent rarement). Le même type de résultat se retrouve pour la consommation d’Omega 3, tous types de sources confondus. 

L’étude PAQUID réalisée sur 3777 individus âgés de plus de 65 ans montre une corrélation inverse entre le risque de développer une démence et la fréquence de consommation de poisson. 

L’étude des 3C a confirmé les résultats sur le bénéfice de la consommation régulière de poisson mais a aussi mis en évidence le bénéfice de la consommation de certaines huiles végétales, riches en oméga 3, comme les huiles de lin et de colza. En revanche, une consommation d’huiles riches en oméga 6, comme l’huile de tournesol, sans que cette consommation soit contrebalancée par une consommation adéquate en oméga 3, aggravait le risque de développer une démence. 

Ainsi, la consommation d’Oméga 3 ralentirait le déclin cognitif donc l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Plus précisément, la consommation de DHA et EPA atténuerait la formation de plaques amyloïdes, ce qui aurait pour conséquences de retarder l’apparition de la maladie et donc diminuer les risques de démences. 

Une étude récemment menée (2022) par Sala-Vila et ses collaborateurs, sur une cohorte de 1 490 individus, met aussi en évidence un lien entre le taux d’oméga 3 présent dans les globules rouges (c’est à dire le taux d’oméga 3 érythrocytaire) et le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Leurs résultats montrent que plus le taux d’oméga 3 érythrocytaire est élevé moins le risque de développer la maladie est grand ; ce qui signifie que, ces individus sont moins à risque que les individus ayant un taux sanguin en oméga 3 faible.   

Les oméga 3, en tant que constituants majeurs des cellules nerveuses, jouent aussi un rôle dans la myélinisation des axones. Cette myélinisation est importante dans la conduite de l’influx nerveux, notamment afin d’initier les mouvements moteurs. Dans le cas de la sclérose en plaques, l’apport oméga 3 diminuerait la fréquence des rechutes et ralentirait la progression de la maladie. 

LES OMEGA 3 AGISSENT POUR NOTRE SANTE INTESTINALE : 

En fonction de ce que l’on mange, les bactéries de nos microbiotes sont différentes et cela peut avoir un impact sur notre humeur et notre vulnérabilité à développer des maladies. Les oméga 3, acides gras qui nous sont indispensables, agissent comme des prébiotiques dans notre intestin (substrats alimentaires utiles aux bactéries de notre microbiote). Les oméga 3 sont notamment connus pour restaurer le ratio entre les bactéries de type Firmicutes et Bacteroidetes (témoin de notre équilibre intestinal) et augmenter la présence de bactéries productrices de butyrate, un acide gras à chaîne courte qui permet le renforcement de notre barrière intestinale (via la production de mucus et le maintien de l’intégrité des jonctions entre les cellules). 

Les 3 effets principaux des oméga 3 sur le microbiote sont : 

➢ la modulation du type et de l’abondance des bactéries du microbiote intestinal 

➢ la modulation de médiateurs de l’inflammation 

➢ l’augmentation de la présence d’acides gras à chaîne courte, bénéfiques pour l’équilibre de l’intestin 

LES OMEGAS 3 AGISSENT POUR LA SANTE DE MAMAN ET BEBE 

Pourquoi les Omégas 3 sont importants ? 

Pour la maman qui a un risque de dépression post partum : 

Les Omégas 3 contribuent au bon fonctionnement neurologique et cardio-vasculaire 

Participent à la régulation du poids 

Pour le bébé, par transfert placentaire, puis par le lait maternel : 

Les Omégas 3 sont essentiels pour un développement visuel et neurologique optimal 

Ils entrent dans la constitution du tissu adipeux : baisse du risque de l’obésité infantile 

Ils contribuent à la mise en place du système immunitaire : risque dermatite et eczéma 

Source : ANSES et Retour sur l’intervention de Philippe Guesnet, directeur de recherche INRAE et président de la SFEL lors du Congrès One Health du 09/11/23 

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